Ayant effectué plusieurs voyages en Chine, il dû y mettre en application sa pratique des arts martiaux au cours de multiples aventures et combats mortels.
Durant son passage en Chine, il côtoya le dernier Empereur Chinois, Pu Yi.
Maître Takamatsu parlait, en plus du japonais, le Chinois, l’Anglais et le Français. Il fut ordonné prêtre Bouddhiste vers 30 ans, puis s’occupa d’une maison de thé. Il aimait peindre et promenait régulièrement ses 15 chiens. Il eut de multiples surnoms dont celui de « Bujin » (Dieu de la guerre) (terme que nous utilisons aujourd’hui pour illustrer le travail de prise de conscience de Soi mené par les pratiquants de nos écoles)